20 juin : Journée Mondiale des Réfugiés
Chaque jour on en croise bien plus qu’on ne le pense.
Les réfugiés ne sont pas tous aux feux rouges ou dans la rue et ils participent souvent d’ailleurs au bon développement des économies des pays qui les accueillent.
Certains sont doués de leurs mains, d’autres en sciences ou en arts, mais tous on surtout le courage de partir de chez eux pour éviter la mort dans des conditions souvent horribles.
Un courage, un instinct de survie qui s’il n’est pas souvent salué nous indique ne chose : devant le danger, l’être humain prend la fuite pour survivre s’il ne peut combattre pour espérer gagner.
Une leçon de vie pour chacun, au quotidien, car chaque jour tout peut arriver, à chacun et quand il faudra alors envisager un changement nous chercherons tous … de l’aide.
Car personne ne survit seul longtemps.
UNE NOUVELLE TENDANCE QUI N’A RIEN DE CHIC.
La convention de Genève définit le statut des réfugiés et leurs modalités d’accueil par les États depuis 1951. Le « rétro fashion chic d’antan » nous fait souvent oublier que dans les années 50 par exemple, les femmes avaient moins de tenues qu’aujourd’hui. Elles reprisaient même leurs tenues. Comme certains réfugiés mais c’est moins glamour. Pourtant notre mode de consommation moderne est bien responsable des grands mouvements de populations aujourd’hui.
L’ANIMAL AUSSI SE DÉPLACE POUR TROUVER À MANGER.
Ce que nous consommons, mangeons, et achetons conditionne directement la vie de nombreux pays et donc de millions voire de milliards d’êtres humains.
L’impact environnemental de l’élevage pour nos habitudes alimentaires, la mode une industrie polluante qui pratique un esclavagise moderne (dans des pays dans lesquels on ne connait même pas les droits de la femme) etc… Tout ce que nous consommons au quotidien possède un impact sur l’autre coin de la planète, direct et puissant.
Croire le contraire c’est mentir bien plus que de dire « désolé j’ai rien » quand on ne veut pas donner une pièce à qui demande.
LES ENFANTS SONT LES PREMIERS À EN SOUFFRIR
Na pas partager eau et nourriture sur la planète entraine : Carences, maladies, épidémies, décès mais aussi violences, abus sexuels et esclavagisme chez les enfants en priorité.
Nous le savons, nous avons tous en mémoire des images atroces d’enfants malades. Ils sont encore plus nombreux aujourd’hui et malades autrement (maigres, allergiques, obèses, …).
On dit « fumer tue » mais manger tue encore plus. Et pas uniquement celui qui mange hélas, car celui là affame souvent encore plus de personnes par son mode de consommation alimentaire quotidien.
Alors finalement, quand on a faim, est-ce mal d’aller là où on trouve à manger ?
C’était la journée mondiale des réfugies, celle des amalgames. Celle qu’on devrait tous ne pas célébrer car elle nous concerne tous aujourd’hui. Car nous sommes tous inter connecté par les réseaux digitaux, nos modes de vies et donc tous responsables des mouvements migratoires actuels sur notre planète.
Certains en abusent et s’enrichissent. La plupart d’entre nous en sont complices et vivent difficilement en appuyant sur la tête de ceux là même dont on ne veut croiser le regard quand ils tendent la main.
SI NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES NOUS POUVONS TOUS CHANGER CELA.